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Christ, l’Incomparable : Réflexion à la Croix 

Nancy : Reconnu comme un simple homme, il s’est humilié lui-même en faisant preuve d’obéissance jusqu’à la mort, même la mort sur la croix (Philippiens 2.7b-8)

 

Leslie : Vous écoutez un podcast de Réveille Nos Cœurs. Aujourd’hui nous vous invitons à ralentir un peu pour prendre le temps de réfléchir aux événements qui ont marqué le Vendredi saint. Nous allons explorer ensemble de nombreux passages bibliques qui, tous ensemble, racontent cette histoire si importante. Vous trouverez toutes le référence de ces passages bibliques sur notre site internet réveillenoscoeurs.com. Alors, écoutons et laissons la parole de Dieu imprégner nos cœurs.

Homme : Ils conduisirent Jésus à l’endroit appelé Golgotha, ce qui signifie « lieu du crâne ». Ils lui donnèrent à boire du vin mêlé de myrrhe, mais il ne le prit pas. Ils le crucifièrent, puis ils se partagèrent ses vêtements en tirant au sort pour savoir ce que chacun aurait. C’était neuf heures du matin quand ils le crucifièrent. (Marc 15.22-25)

Nancy : Je vous ai transmis avant tout le message que j’avais moi aussi reçu : Christ est mort pour nos péchés, conformément aux Écritures. (1 Corinthiens 15.3)

 

Nancy : Christ nous a rachetés de la malédiction de la loi en devenant malédiction pour nous, puisqu’il est écrit : Tout homme pendu au bois est maudit. (Galates 3.13)

 

Nancy : Celui qui n’a pas connu le péché, il l’a fait devenir péché pour nous afin qu’en lui nous devenions justice de Dieu. (2 Corinthiens 5.21)

 

Homme : Pilate rédigea aussi un écriteau qu’il plaça sur la croix ; il y était écrit : « Jésus de Nazareth, le roi des Juifs. » Beaucoup de Juifs lurent cette inscription parce que l’endroit où Jésus fut crucifié était près de la ville. Elle était écrite en hébreu, en grec et en latin. Les chefs des prêtres des Juifs dirent à Pilate : « N’écris pas : ‘Le roi des Juifs’, mais plutôt : « Cet homme a dit : Je suis le roi des Juifs. » Pilate répondit : « Ce que j’ai écrit, je l’ai écrit. » (Jean 19.19-22)

 

Nancy : Alors que nous étions encore sans force, Christ est mort pour des pécheurs au moment fixé. À peine mourrait-on pour un juste ; peut-être accepterait-on de mourir pour quelqu’un de bien. Mais voici comment Dieu prouve son amour envers nous : alors que nous étions encore des pécheurs, Christ est mort pour nous (Romains 5.6-8)

Homme : Lorsqu’ils furent arrivés à l’endroit appelé « le Crâne », ils le crucifièrent là ainsi que les deux malfaiteurs, l’un à droite, l’autre à gauche. Jésus dit : « Père, pardonne-leur, car ils ne savent pas ce qu’ils font.»             (Luc 23.33-34)

Nancy : En Christ, par son sang, nous sommes rachetés, pardonnés de nos fautes, conformément à la richesse de sa grâce. (Éphésiens 1.7)

 

Nancy : Puisque nous sommes maintenant considérés comme justes grâce à son sang, nous serons à bien plus forte raison sauvés par lui de la colère de Dieu. En effet, si nous avons été réconciliés avec Dieu grâce à la mort de son Fils lorsque nous étions ses ennemis, nous serons à bien plus forte raison sauvés par sa vie maintenant que nous sommes réconciliés. (Romains 5.9-10)

 

Nancy : Mes petits-enfants, je vous écris cela afin que vous ne péchiez pas. Mais si quelqu’un a péché, nous avons un défenseur auprès du Père, Jésus-Christ le juste. Il est lui-même la victime expiatoire pour nos péchés, et non seulement pour les nôtres, mais aussi pour ceux du monde entier. (1 Jean 2.1-2)

 

Homme : Après avoir crucifié Jésus, les soldats prirent ses vêtements et en firent quatre parts, une pour chaque soldat. Ils prirent aussi sa tunique, qui était sans couture, d’une seule pièce depuis le haut jusqu’en bas. Ils se dirent entre eux : « Ne la déchirons pas, mais tirons au sort pour savoir à qui elle sera.» C’est ainsi que s’accomplit cette parole de l’Écriture : Ils se sont partagé mes vêtements et ils ont tiré au sort mon habit. (Jean 19.23-24)

 

Nancy : Tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu, et ils sont gratuitement déclarés justes par sa grâce, par le moyen de la libération qui se trouve en Jésus-Christ. C’est lui que Dieu a destiné à être par son sang une victime expiatoire pour ceux qui croiraient. Il démontre ainsi sa justice, puisqu’il avait laissé impunis les péchés commis auparavant, à l’époque de sa patience. Il la démontre dans le temps présent de manière à être juste tout en déclarant juste celui qui a la foi en Jésus.

(Romains 3.23-26)

 

Homme : Les passants l’insultaient et secouaient la tête en disant : « Toi qui détruis le temple et qui le reconstruis en trois jours, sauve-toi toi-même ! Si tu es le Fils de Dieu, descends de la croix !» Les chefs des prêtres, avec les spécialistes de la loi et les anciens, se moquaient aussi de lui et disaient : « Il en a sauvé d’autres et il ne peut pas se sauver lui-même ! S’il est roi d’Israël, qu’il descende maintenant de la croix et nous croirons en lui. Il s’est confié en Dieu ; que Dieu le délivre maintenant, s’il l’aime ! En effet, il a dit : « Je suis le Fils de Dieu. » Les brigands crucifiés avec lui l’insultaient eux aussi de la même manière. (Matthieu 27. 39-44)

 

Homme : Les soldats aussi se moquaient de lui ; ils s’approchaient pour lui présenter du vinaigre en disant : « Si tu es le roi des Juifs, sauve-toi toi-même !» (Luc 23 : 36-37)

 

Nancy : Mais moi, je suis un ver et non un homme, la honte de l’humanité, celui que le peuple méprise. Tous ceux qui me voient se moquent de moi, ils ricanent, ils hochent la tête : « Recommande ton sort à l’Éternel ! L’Éternel le sauvera, il le délivrera, puisqu’il l’aime !» (Psaume 22.7-9)

Nancy : j’attends de la pitié, mais il n’y en a pas, des consolateurs, et je n’en trouve aucun. Ils mettent du poison dans ma nourriture, et pour apaiser ma soif ils me donnent du vinaigre. (Psaume 69. 20b-21)

 

Homme : L’un des malfaiteurs crucifiés avec lui l’insultait en disant : « Si tu es le Messie, sauve-toi toi-même, et nous avec toi !» Mais l’autre le reprenait et disait : « N’as-tu aucune crainte de Dieu, toi qui subis la même condamnation ? Pour nous, ce n’est que justice, puisque nous recevons ce qu’ont mérité nos actes, mais celui-ci n’a rien fait de mal. » Et il dit à Jésus : « Seigneur, souviens-toi de moi quand tu viendras régner. » Jésus lui répondit : « Je te le dis en vérité, aujourd’hui tu seras avec moi dans le paradis. » (Luc 23.39-43)

 

Nancy : Christ aussi a souffert, et ce une fois pour toutes, pour les péchés. Lui le juste, il a souffert pour des injustes afin de vous conduire à Dieu. Il a souffert une mort humaine, mais il a été rendu à la vie par l’Esprit. (1 Pierre 3.18)

 

Homme : Près de la croix de Jésus se tenaient sa mère, la sœur de sa mère, Marie la femme de Clopas et Marie de Magdala. Jésus vit sa mère et, près d’elle, le disciple qu’il aimait. Il dit à sa mère : « Femme, voici ton fils. » Puis il dit au disciple : « Voici ta mère. » Dès ce moment-là, le disciple la prit chez lui. 

(Jean 19.25-27)

 

Nancy : Christ a lui-même porté nos péchés dans son corps à la croix afin que, libérés du péché, nous vivions pour la justice. C’est par ses blessures que vous avez été guéris. (1 Pierre 2.24)

 

Homme : À midi, il y eut des ténèbres sur tout le pays, jusqu’à trois heures de l’après-midi. Et à trois heures de l’après-midi, Jésus s’écria d’une voix forte : « Eloï, Eloï, lama sabachthani ?» – ce qui signifie : Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné ? Quelques-uns de ceux qui étaient là, après l’avoir entendu, disaient : « Voici qu’il appelle Elie. » Et l’un d’eux courut remplir une éponge de vinaigre ; il la fixa à un roseau et lui donna à boire en disant : « Laissez donc, voyons si Elie viendra le descendre de là. » (Marc 15.33-36)

Nancy : Dieu a voulu que toute sa plénitude habite en Christ. Il a voulu par lui tout réconcilier avec lui-même, aussi bien ce qui est sur la terre que ce qui est dans le ciel, en faisant la paix à travers lui, par son sang versé sur la croix. Et vous qui étiez autrefois étrangers et ennemis de Dieu par vos pensées et par vos œuvres mauvaises, il vous a maintenant réconciliés par la mort de son Fils dans son corps de chair pour vous faire paraître devant lui, saints, sans défaut et sans reproche. (Colossiens 1.19-22)

Homme : Après cela, Jésus, qui savait que tout était déjà accompli, dit, afin que l’Écriture se réalise pleinement : « J’ai soif. »  Il y avait là un vase plein de vinaigre. Les soldats en remplirent une éponge, la fixèrent à une branche d’hysope et l’approchèrent de sa bouche. Quand Jésus eut pris le vinaigre, il dit : « Tout est accompli. » Puis il baissa la tête et rendit l’esprit. (Jean 19.28-30)

Nancy : Tout sacrificateur se tient chaque jour debout pour faire le service et offrir fréquemment les mêmes sacrifices, qui ne peuvent jamais enlever les péchés, tandis que Christ, après avoir offert un seul sacrifice pour les péchés, s’est assis pour toujours à la droite de Dieu. Il attend désormais que ses ennemis soient réduits à lui servir de marchepied. En effet, par une seule offrande il a conduit à la perfection pour toujours ceux qu’il rend saints. (Hébreux 10.11-14)

 

Nancy : Vous le savez en effet, ce n’est pas par des choses corruptibles comme l’argent ou l’or que vous avez été rachetés de la manière de vivre dépourvue de sens que vous avaient transmise vos ancêtres, mais par le sang précieux de Christ, qui s’est sacrifié comme un agneau sans défaut et sans tache. (1 Pierre 1.18-19)

 

Homme : Jésus s’écria d’une voix forte : « Père, je remets mon esprit entre tes mains. » Après avoir dit ces paroles, il expira. (Luc 23.46)

 

Nancy : Puisque ces enfants ont en commun la condition humaine, Jésus lui-même l’a aussi partagée, de façon similaire. Ainsi, par sa mort, il a pu rendre impuissant celui qui exerçait le pouvoir de la mort, c’est-à-dire le diable, et libérer tous ceux que la peur de la mort retenait leur vie durant dans l’esclavage. (Hébreux 2.14-15)

 

Nancy : Voici comment l’amour de Dieu s’est manifesté envers nous : Dieu a envoyé son Fils unique dans le monde afin que par lui nous ayons la vie. Et cet amour consiste non pas dans le fait que nous, nous avons aimé Dieu, mais dans le fait que lui nous a aimés et a envoyé son Fils comme victime expiatoire pour nos péchés. 

(1 Jean 4.9-10)

Homme : Et voici que le voile du temple se déchira en deux depuis le haut jusqu’en bas, la terre trembla, les rochers se fendirent, les tombeaux s’ouvrirent et les corps de plusieurs saints qui étaient morts ressuscitèrent. étant sortis des tombes, ils entrèrent dans la ville sainte après la résurrection de Jésus et apparurent à un grand nombre de personnes. À la vue du tremblement de terre et de ce qui venait d’arriver, l’officier romain et ceux qui étaient avec lui pour garder Jésus furent saisis d’une grande frayeur et dirent: «Cet homme était vraiment le Fils de Dieu. (Matthieu 27.51-54)

Nancy : C’est bien un tel grand-prêtre qu’il nous fallait : saint, irréprochable, sans souillure, séparé des pécheurs et plus élevé que le ciel. Il n’a pas besoin comme les autres grands-prêtres d’offrir chaque jour des sacrifices, d’abord pour ses propres péchés, ensuite pour ceux du peuple, car il a accompli ce service une fois pour toutes en s’offrant lui-même en sacrifice. (Hébreux 7.26-27)

Nancy : Et ce n’est pas pour s’offrir lui-même plusieurs fois qu’il y est entré, comme le grand-prêtre qui entre chaque année dans le sanctuaire pour offrir un autre sang que le sien ; si tel avait été le cas, il aurait dû souffrir plusieurs fois depuis la création du monde. Mais maintenant, à la fin des temps, il s’est révélé une seule fois pour abolir le péché par son sacrifice. 

Il est réservé aux êtres humains de mourir une seule fois, après quoi vient le jugement. De même, Christ s’est offert une seule fois pour porter les péchés de beaucoup d’hommes, puis il apparaîtra une seconde fois, sans rapport avec le péché, à ceux qui l’attendent pour leur salut. (Hébreux 9.25-28)

Homme : C’était la préparation de la Pâque et ce sabbat allait être un jour solennel. Craignant que les corps ne restent en croix pendant le sabbat, les Juifs demandèrent à Pilate qu’on brise les jambes aux crucifiés et qu’on enlève les corps. Les soldats vinrent donc briser les jambes du premier, puis du second des condamnés qui avaient été crucifiés avec Jésus. Quand ils s’approchèrent de lui, ils virent qu’il était déjà mort. Ils ne lui brisèrent pas les jambes, mais un des soldats lui transperça le côté avec une lance et aussitôt il en sortit du sang et de l’eau. Celui qui a vu ces choses en rend témoignage et son témoignage est vrai. Il sait qu’il dit la vérité afin que vous croyiez aussi. En effet, cela est arrivé afin que ce passage de l’Ecriture soit accompli : Aucun de ses os ne sera brisé. Ailleurs l’Écriture dit encore : Ils verront celui qu’ils ont transpercé. (Jean 19.31-37)

 

Nancy : Méprisé et délaissé par les hommes, homme de douleur, habitué à la souffrance, il était pareil à celui face auquel on détourne la tête : nous l’avons méprisé, nous n’avons fait aucun cas de lui.

Pourtant, ce sont nos souffrances qu’il a portées, c’est de nos douleurs qu’il s’est chargé. Et nous, nous l’avons considéré comme puni, frappé par Dieu et humilié.

Mais lui, il était blessé à cause de nos transgressions, brisé à cause de nos fautes : la punition qui nous donne la paix est tombée sur lui, et c’est par ses blessures que nous sommes guéris.

 

Nous étions tous comme des brebis égarées : chacun suivait sa propre voie,

et l’Éternel a fait retomber sur lui nos fautes à tous. Il a été maltraité, il s’est humilié et il n’a pas ouvert la bouche. Pareil à un agneau qu’on mène à l’abattoir, à une brebis muette devant ceux qui la tondent, il n’a pas ouvert la bouche.

Il a été enlevé sous la contrainte et sous le jugement, et dans sa génération qui s’est inquiété de son sort ?

Qui s’est soucié de ce qu’il était exclu de la terre des vivants, frappé à cause de la révolte de mon peuple ? On a mis son tombeau parmi les méchants, sa tombe avec le riche, alors qu’il n’avait pas commis de violence et qu’il n’y avait pas eu de tromperie dans sa bouche. L’Éternel a voulu le briser par la souffrance. Après s’être livré en sacrifice de culpabilité, il verra une descendance, il vivra longtemps, et la volonté de l’Éternel sera accomplie par son intermédiaire. Après tant de trouble, il verra la lumière et sera satisfait.

 

Par sa connaissance, mon serviteur juste procurera la justice à beaucoup d’hommes ;

c’est lui qui portera leurs fautes. Voilà pourquoi je lui donnerai sa part au milieu de beaucoup et il partagera le butin avec les puissants : parce qu’il s’est dépouillé lui-même jusqu’à la mort et qu’il a été compté parmi les criminels, parce qu’il a porté le péché de beaucoup d’hommes et qu’il est intervenu en faveur des coupables.

(Ésaïe 53.3-12)

Nancy : Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique afin que quiconque croit en lui ne périsse pas mais ait la vie éternelle. Dieu, en effet, n’a pas envoyé son Fils dans le monde pour juger le monde, mais pour que le monde soit sauvé par lui. Celui qui croit en lui n’est pas jugé, mais celui qui ne croit pas est déjà jugé parce qu’il n’a pas cru au nom du Fils unique de Dieu. (Jean 3.16-18)

 

Nancy : Celui qui croit au Fils a la vie éternelle ; celui qui ne croit pas au Fils ne verra pas la vie, mais la colère de Dieu reste au contraire sur lui. (Jean 3.36)

 

Nancy : Lui qui n’a pas commis de péché et dans la bouche duquel on n’a pas trouvé de tromperie, lui qui insulté ne rendait pas l’insulte, maltraité ne faisait pas de menaces mais s’en remettait à celui qui juge justement. (1 Pierre 2.22-23)

Nancy : Celui qui a été abaissé pour un peu de temps au-dessous des anges, Jésus, nous le voyons couronné de gloire et d’honneur à cause de la mort qu’il a soufferte. Ainsi, par la grâce de Dieu, il a connu la mort pour tout être humain.

En effet, celui pour qui et par qui toute chose existe voulait conduire à la gloire beaucoup de fils ; il lui convenait donc de qualifier parfaitement par des souffrances l’auteur de leur salut. (Hébreux 2.9-10)

Nancy : Je regardai et j’entendis la voix de nombreux anges rassemblés autour du trône, des êtres vivants et des anciens ; ils étaient des myriades de myriades et des milliers de milliers. Ils disaient d’une voix forte : « L’Agneau qui a été offert en sacrifice est digne de recevoir la puissance, la richesse, la sagesse, la force, l’honneur, la gloire et la louange. » Toutes les créatures qui sont dans le ciel, sur la terre, sous la terre, sur la mer, tous les êtres qui s’y trouvent, je les entendis s’écrier : « À celui qui est assis sur le trône et à l’Agneau soient la louange, l’honneur, la gloire et la domination, aux siècles des siècles !» Les quatre êtres vivants répondaient : « Amen !» Et les anciens se prosternèrent et adorèrent. (Apocalypse 5.11-14)

 

Leslie : Comme ça fait du bien de pouvoir commémorer le jour du Vendredi Saint en se laissant simplement imprégner de la Parole de Dieu ! Vous trouverez toutes les références bibliques des passages entendus aujourd’hui sur notre site internet www.reveillenoscoeurs.com. Une fois sur le site, cliquez sur « Podcasts » pour lire la transcription de cet épisode intitulé « Réflexion à la Croix ».

Nous vous souhaitons un weekend de Pâques riche de sens en souvenir de la mort, la mise au tombeau et la résurrection de notre Seigneur Jésus. 

 

Tous les versets de la Bible sont tirés de la version Segond 21, utilisés avec l’aimable autorisation de la Société Biblique de Genève.

Réveille Nos Cœurs est le ministère francophone de Revive Our Hearts, une initiative de Life Action Ministries avec Nancy DeMoss Wolgemuth.

 

Avec les voix de François Reymond, Jeannette Kossmann et Christine Reymond. 

 

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