Dannah Gresh : Est-ce que ça vous semble compliqué de prendre le temps de prier ?
Leslie Bennett : Est-ce que je prierais différemment si je savais que Jésus revenait la semaine prochaine ou le mois prochain ? Est-ce que je prierais avec plus d’empressement et de ferveur ?
Dannah : Vous écoutez Réveille Nos Coeurs. Aujourd’hui, on continue à parler de la prière, dans cette mini-série « Libérer la puissance de la prière ». Personnellement, je sais que j’ai besoin de ce rappel dans ma propre vie. Et vous, est-ce que vous sentez qu’il y a quelque chose qui freine votre vie de prière ? Quelque chose peut-être qui vous empêche de vous approcher du Seigneur dans une prière authentique et passionnée ?
Dans le podcast précédent, on a parlé de quatre obstacles importants qui nous empêchent d’avoir une prière puissante : la prière du « moi, moi, moi », la prière du « cœur tourné vers la terre », la prière aux mains sales et la prière « éclair ». Si vous avez manqué cela, vous pouvez retrouver l’épisode sur notre site réveillenoscœurs.com.
Aujourd’hui nous continuons avec deux autres obstacles à une prière puissante, entre autres, la prière du « petit chat ». .
Leslie Bennett : L’obstacle N° 5 : la prière du petit chat.
Certaines d’entre nous approchent le Seigneur de façon assez timide : « Seigneur, si tu as le temps, je sais que tu es occupé. Beaucoup de gens te prient. Et, eh bien, c’est encore moi. Je sais que je t’ai déjà parlé de cela, mais je reviens. Et si tu penses pouvoir m’aider, Seigneur… » Mmmm…
Cela me fait penser au père du fils muet qui avait des convulsions dans Marc 9. Il avait demandé aux disciples s’ils pouvaient chasser ce démon qui rendait son fils muet et le faisait convulser, mais les disciples n’avaient pas réussi. Mais quand le père a vu Jésus, il est allé vers lui. Sa demande de prière a commencé ainsi : « Mais si tu peux faire quelque chose, viens à notre secours, aie compassion de nous. » (Marc 9.22)
Et Jésus a probablement dû regarder cet homme et penser quelque chose comme « Tu plaisantes ? Si je peux aider ? Si j’ai de la compassion ? Si je peux ? »
Il a répondu : « Si tu peux ? Tout est possible à celui qui croit. »
Alors, le père a supplié Jésus. Vous vous souvenez de ce qu’il a dit ensuite ? « Je crois, Seigneur, viens au secours de mon incrédulité. » Et Jésus l’a fait. C’est ce qu’on doit dire : « Seigneur, je crois, viens au secours de mon incrédulité. » Et on doit être audacieuses dans nos prières.
Pendant son ministère terrestre, Jésus a utilisé la formule « une génération incrédule ». Je me demande ce qu’il dirait de notre génération ? Je me demande s’il nous qualifierait aussi d’incrédules ?
Mes amies, on prie au nom du Lion de la tribu de Juda, qui ne ronronne pas comme un doux petit chat. Il rugit ! N’est-ce pas ? Alors, commençons à prier comme ça.
Rien n’est trop difficile pour lui. Croyez ce qu’il a dit dans sa Parole. Approchez-vous de lui, dans sa présence avec audace et confiance en sa puissance. Quelles sont vos prières impossibles, celles que seul Dieu peut exaucer ?
À l’automne 2019, ma fille McCauley et son mari étaient mariés depuis plusieurs années. Ils désiraient profondément avoir un enfant, mais ils étaient confrontés à l’infertilité. Ils avaient consulté des spécialistes et suivi plusieurs traitements. Elle n’avait plus de cycles menstruels, et sans cycle, il est impossible de tomber enceinte. Rien de ce qu’ils avaient essayé ne fonctionnait.
Alors, ils ont décidé d’arrêter. C’était trop dur émotionnellement, trop difficile de continuer. Ils ont décidé de remettre ça entre les mains de Dieu. Dieu est souverain. Ils ont dit : « On ne cherchera plus de traitements. On va juste s’arrêter et prier. C’est tout ce qu’on va faire : prier. »
Dans son temps avec le Seigneur — parce que ma fille est une femme qui demeure en lui — elle priait, et le Seigneur l’a poussée à prier pour un bébé miracle.
Eh bien, c’est un peu terrifiant, n’est-ce pas ? Entendre Dieu lui demander de prier pour un bébé miracle ? « Tu veux que je prie pour un bébé miracle ? » Elle l’a entendu, parce qu’elle écoute et qu’elle demeure en lui.
Elle a pris du temps pour méditer ces paroles. Elle est retournée encore et encore vers le Seigneur : « Seigneur, est-ce vraiment ce que tu me demandes ? Est-ce juste un désir de mon cœur ou est-ce vraiment de toi ? »
Elle a prié avec son mari, et ensemble, ils ont cru que cela venait vraiment du Seigneur : prier pour un miracle de Noël.
Je veux que vous sachiez que ma fille n’avait toujours pas de cycles menstruels. Elle était physiquement incapable de tomber enceinte et de porter un enfant. Mais le matin de Noël, avec foi, elle a sorti un test de grossesse qu’elle avait gardé dans un placard.
Elle a dit à son mari : « Chéri, on va juste faire le test. Il est le Dieu de l’impossible. » Alors, ensemble, ils se sont enfermés dans la salle de bain. Ils ont fait le test de grossesse, et elle attendait en effet un bébé… le matin de Noël.
Dieu est le Dieu de l’impossible. Mes chères sœurs, je voudrais vous encourager à prier des prières impossibles dans votre vie. Parce que si Dieu peut faire cela pour ma fille, qui ne pouvait physiquement pas porter un enfant, il peut aussi réaliser ce que votre cœur désire ardemment.
Croyons en lui et demandons-lui l’impossible.
On a déjà parlé des prières du « moi, moi, moi », des prières avec le « cœur tourné vers la terre », des prières aux mains sales, des prières « éclair » et des prières de « petit chat ».
Maintenant, la dernière catégorie est peut-être la plus importante. L’obstacle N° 6 à une vie de prière puissante est la prière paresseuse.
Vous voyez, prier, ça ne se fait pas tout seul. On doit mettre la main à la pâte et persévérer. Dans Colossiens 4.12, Paul nous parle de son ami Épaphras, qui, comme le dit la Bible, « ne cesse de combattre pour vous dans ses prières afin que vous teniez bon, comme des hommes mûrs, pleinement disposés à faire toute la volonté de Dieu. »
D’autres traductions disent : « ne cesse pas de prier avec ardeur », ou « combat », ou encore « ne cesse de mener le combat ». Cette phrase vient d’un mot grec qui décrit les efforts des premiers athlètes olympiques lorsqu’ils concouraient pour gagner. Ils luttaient, combattaient et travaillaient avec ferveur pour atteindre un seul but : la victoire.
Les chrétiens du premier siècle ont appris avec Paul que, pour que le royaume de Dieu avance, ils devaient s’investir dans la prière, en présence d’un Dieu saint et puissant. Épaphras est présenté comme un exemple de prière fervente et d’intercession passionnée.
Si je peux être honnête, ces dernières années m’ont beaucoup appris. Je crois que, dans l’Église du vingt-et-unième siècle, on est devenu un peuple qui parle beaucoup de l’importance de la prière, mais dont le style de vie ne reflète pas cette priorité. On n’a pas encore compris… Mais il est encore temps de rectifier cela, car la Bible dit : « Vous ne recevez pas, parce que vous ne demandez pas. » Est-ce qu’on peut être plus clair que cela ?
E.M. Bounds a écrit ceci : « Une église à genoux ferait descendre le ciel sur la terre. » Une église à genoux ferait descendre le ciel sur la terre. E.M. Bounds a aussi dit : « Si le diable peut amener l’église à abandonner la prière en lui faisant croire qu’il y a de bonnes raisons pour le faire, alors, l’église est sous son emprise. »
Quelle déclaration puissante ! Cela me touche profondément. Alors, quand on n’est pas perturbé par le fait que quelques jours ou semaines passent sans prière ni temps dans la Parole, c’est parce qu’on a oublié que cela a une importance capitale. On est tombé dans le mensonge que la prière n’est pas aussi importante que ça.
L’ennemi veut qu’on croie que la prière ne sert pas à grand-chose, qu’elle est juste un supplément à notre foi.
Mais, vous savez, une des raisons pour lesquelles on manque de puissance dans nos prières, c’est qu’on n’a pas de plan. Alors, seriez-vous prêtes à faire un petit pas en avant pour prier avec d’autres croyantes ? Voici comment Dieu m’a montré cette technique, et j’espère que cela pourra aider certaines d’entre vous.
Il y a quelque temps, je me suis sentie très triste pour mon église. On traversait une période difficile, et je sentais que je ne priais pas assez pour mon église comme je le devrais. Comme beaucoup d’églises, la nôtre vivait une période très compliquée à cause du COVID. Cela nous avait beaucoup affectés. Je voyais que les membres de l’église n’assumaient pas leur responsabilité d’intercéder pour notre église.
Nos responsables, nos pasteurs, notre personnel, et franchement, en tant que congrégation, je ne voyais personne prier pour que le feu de Dieu descende sur nous.
Alors, je me suis réunie avec quelques amies et je leur ai partagé ma préoccupation. Elles ont tout de suite été d’accord. Une de mes amies, Shannon, qui est super active — je l’aime baeucoup — est allée directement voir le pasteur et lui a dit : « Pasteur, les femmes veulent se réunir pour prier le dimanche matin, qu’en pensez-vous ? »
Il était ravi, absolument ravi. Il nous a donné sa bénédiction. Aucune de nous n’avait vraiment de temps libre pour ajouter encore quelque chose à notre emploi du temps, n’est-ce pas ? Donc, il fallait trouver un plan simple.
Ce qu’on a décidé de faire, c’est de se réunir pendant trente minutes entre les deux cultes du dimanche matin à l’église. Juste trente minutes. On ne partage pas de sujets de prière, parce qu’on lit toutes les nouvelles de l’église dans les e-mails ou le bulletin du dimanche. On sait ce qui se passe. On peut sentir comment l’Esprit dirige notre pasteur à travers ses prédications.
Alors, on prend le texte de la prédication, et on prie à partir de ce texte. On s’approche hardiment du trône de la grâce, et on intercède avec ferveur et audace pour notre église.
On prie de grandes prières pour le Royaume, des prières qui portent notre église dans les priorités de Dieu. On crie à lui pour qu’il ranime son Église et que nous puissions vivre un vrai réveil spirituel.
La plupart des dimanches, cinq ou six femmes viennent. Certaines mamans amènent leurs filles, et j’aime beaucoup ça. Même des petites et des ados. Mais voilà ce que je sais : il n’est pas nécessaire d’avoir un grand groupe pour obtenir de grands résultats.
Une autre amie, Holly, et sa famille étaient absentes de l’église pendant environ neuf mois au moment où on a commencé ce groupe de prière. Quand elles sont revenues, Holly m’a dit quelque chose de très intéressant. Elle a dit : « Je ne peux pas l’expliquer, mais notre église est différente. Qu’est-ce qui s’est passé ? Elle a tellement changé pendant qu’on était absents. »
Quand on avait commencé ce moment de prière, non seulement on souffrait encore à cause du COVID, mais en plus, plusieurs membres clés du personnel avaient quitté l’église en même temps. Ce n’est pas une grande église, mais ça posait des problèmes. Et quand Holly est revenue, on avait non seulement remplacé les postes vacants, mais aussi créé de nouveaux rôles.
Alors bien sûr, ces changements peuvent être attribués à plusieurs facteurs, mais l’un d’eux, c’est la puissance de la prière !
La puissance de la prière… c’est incroyable ce que Dieu a fait. On aurait pu se dire : « À quoi bon se réunir à cinq ou six femmes pendant seulement trente minutes ? » Mais, mes amies, ce que Dieu peut faire par son Esprit en trente minutes dépasse ce que ses disciples pourraient accomplir seuls en trente ans !
Ayez un plan, recherchez l’intimité avec Jésus, seul et avec d’autres croyantes. La prière n’est pas une chose facile. Elle demande des sacrifices ; elle peut nous mettre mal à l’aise parfois ; elle demande des efforts. Prier, c’est enfiler ses rangers et sortir au front quand on préférerait rester à la maison parce qu’on est fatiguée. Prier, c’est admettre qu’on est complètement dépendantes de Dieu. Prier, c’est demander à Dieu de faire ce que lui seul peut faire.
Le temps presse. Récemment, je lisais dans Joël à propos du jour du Seigneur et du retour de Jésus pour juger le monde, quand les perdus périront, et j’ai été profondément touchée. Est-ce que je vivrais différemment si je savais que Jésus revient demain ? Est-ce que je prierais différemment si je savais que Jésus revenait la semaine prochaine ou le mois prochain ? Est-ce que je prierais avec plus d’empressement et de ferveur ? Et vous ?
Dans Luc 11.5-8, après avoir donné le modèle de prière qu’on appelle le Notre Père, Jésus a raconté une parabole pour illustrer comment on doit prier. Je vais mettre cette parabole à notre sauce moderne pour vous.
Alors, imaginez avec moi, mes amies, c’est juste une de ces journées qui se passent mal. Les enfants (ou les petits-enfants) renversent du jus de raisin sur le tapis blanc. Ensuite, ils jouent sur votre canapé blanc après avoir mangé des fraises, et l’un d’eux vomit accidentellement toute cette bouillie rouge. Vous perdez vos clés de voiture, donc vous arrivez en retard à votre rendez-vous chez le médecin, qui finit par être annulé. Votre mari se réveille malade. Les toilettes sont bouchées. Vous vous faites mal au dos en soulevant votre enfant de deux ans qui pleure. Vous voyez ce que je veux dire ou je continue ? En somme, c’est une journée normale pour une femme, pas vrai ?
À 21 h, tout le monde dans la maison se dit : « Cette journée est terminée. On en a fini de cette horrible, terrible, vraiment mauvaise journée. On éteint tout, tout le monde au lit. »
Et là, à minuit, on frappe à la porte. Vous entendez à peine parce que vous êtes déjà profondément endormie, on pourrait même dire dans un vrai coma. Mais les coups deviennent plus forts. Vous vous tournez et retournez dans votre lit pour essayer de retrouver le sommeil, mais les coups redoublent d’intensité, et vous ne pouvez plus les ignorer.
Finalement, vous criez : « Partez ! On dort ! » (on frappe encore) « Partez ! On a le COVID ! » Mais au lieu de s’en aller, votre voisine hurle et tape encore plus fort à la porte : « Il faut que tu me donnes trois pains pour mon invité qui vient d’arriver, et je n’ai pas été faire les courses depuis une semaine ! »
Oh là là ! Cette voisine, elle a du culot, pas vrai ? Peu importe ce qu’on fait, même en mettant un oreiller sur la tête, on n’arrive pas à bloquer ce bruit. Alors, on finit par se lever, juste pour qu’elle nous laisse tranquilles. On titube dans l’obscurité, on va jusqu’au placard de la cuisine, et on attrape tout ce qu’on peut ramasser. Ensuite, on va à la porte, on ouvre la porte, on lui lance tout ça dans les bras, on claque la porte, et on retourne au lit.
Et Jésus explique cette parabole. Il dit que, même si cette personne grognon ne voulait pas se lever pour aider son amie, elle finira par se lever à cause de l’audace, de la persistance, et de l’insistance de sa voisine. Elle lui donnera tout ce qu’elle demande.
Alors, à combien plus forte raison ? À combien plus forte raison notre Père au ciel qui nous aime répondra-t-il à nos prières audacieuses quand on utilise le Notre Père comme modèle ? Ensuite, Jésus continue en nous enseignant qu’on peut avoir une confiance totale quand on prie. Laissez-moi vous lire ce passage dans Luc 11.9-13. C’est juste après cette parabole.
« Et moi, je vous dis : Demandez et l’on vous donnera ; cherchez et vous trouverez ; frappez et l’on vous ouvrira. En effet, tous ceux qui demandent reçoivent, celui qui cherche trouve et l’on ouvrira à celui qui frappe. »
Gloire à Dieu !
Est-ce que vous avez remarqué cela ? Le passage continue (et je vais sauter les versets 11 et 12) : « Si donc, mauvais comme vous l’êtes, vous savez donner de bonnes choses à vos enfants, le Père céleste donnera d’autant plus volontiers le Saint-Esprit à ceux qui le lui demandent. »
Ne passez pas ce verset, car il nous dit qu’en priant, on élargit notre capacité à recevoir le Saint-Esprit.
Jésus nous appelle à une prière passionnée. Comme Jacob qui a lutté avec l’ange, comme Anne qui murmurait son désir et ses supplications pour un enfant, et comme Jésus qui, avec de grands cris et des larmes, a prié et supplié celui qui pouvait le sauver de la mort.
Il y aura des moments où on sera découragées. C’est pourquoi il est essentiel qu’on ne prie pas toujours seules. Trouvez une partenaire ou un groupe avec qui prier.
Je suis absolument convaincue de cela : il y a certaines œuvres de Dieu qu’il réserve jusqu’à ce que son peuple le cherche avec ferveur et ensemble dans la prière. Qui est d’accord avec moi là-dessus ? L’Église s’est affaiblie parce qu’elle a abandonné la puissance de la prière collective.
Si vous devez retenir une seule chose de cette session, j’espère que ce sera l’importance de se rassembler régulièrement avec d’autres croyantes pour chercher le Seigneur avec ferveur.
Priez ensemble, quoi qu’il en coûte, faites-le. Même en ligne, zoom ou google meet, si c’est la seule possibilité. Mais que la réunion de prière renaisse de la poussière. Il n’y a pas de substitut. Si vous n’avez personne avec qui prier, demandez simplement à Dieu. Il répondra à cette prière et vous mettra en relation avec quelqu’un d’autre qui partage cette même inspiration. Ensuite, attendez et regardez-le agir.
Dans Actes 1.14, il est question de la prière « d’un commun accord ». Il est écrit : « Tous persévéraient, d’un commun accord, dans la prière. » Est-ce possible que l’on vive tant de divisions et de désaccords dans l’Église parce qu’on a arrêté de prier ensemble ? S’agenouiller épaule contre épaule dans la prière, produit un effet particulier, n’est-ce pas ?
Quand on fait cela avec nos frères et sœurs, cela contribue énormément à guérir les blessures dans nos cœurs et à surmonter nos désaccords. L’Église primitive nous montre l’exemple et part du principe que les chrétiens s’unissent dans la prière. Si vous lisez Actes 1 et 2, vous verrez l’élan spirituel qui découle de la prière collective. La prière collective attire le regard de Dieu et libère la puissance de la prière.
Dannah : C’est vrai, c’est tellement important de se rassembler avec d’autres croyants pour chercher le Seigneur dans la prière. D’ailleurs, c’est fondamental dans ce ministère et c’est vraiment notre désir que Dieu suscite des femmes qui prient, qui unissent leurs cœurs et leurs mains tout autour de la terre pour crier à lui en faveur de nos familles, de nos églises, de nos nations et de notre monde. Et si vous recherchez davantage de ressources sur la prière, je vous invite à aller sur notre site reveillenoscoeurs.com. Là vous trouverez des articles, un défi de 30 jours, des podcasts, et même une vidéo du témoignage d’une mère, tout ça autour de la prière. Alors, il me reste à vous donner rendez-vous pour le prochain podcast, et avant qu’on se quitte, est-ce que vous êtes d’accord qu’on prie ensemble ?
Leslie : Oh Père, merci pour le privilège incroyable de la prière. Je ne comprends pas pourquoi on ne l’utilise pas plus — je ne comprends pas pourquoi je ne l’utilise pas plus — mais je suis tellement reconnaissante que tu sois dans le ciel, écoutant et répondant à nos prières, et que Christ soit assis à ta droite, et qu’il intercède en notre faveur. Seigneur, je te prie de faire de nous un peuple de prière : des femmes qui prient ensemble à travers le monde, te suppliant, intercédant pour ceux qu’on aime et pour ceux que tu veux attirer dans ton Royaume. Seigneur, fais de nous des hommes et des femmes de prière. Que ton nom soit glorifié, et que tu sois prêt à déverser ton Esprit d’une manière nouvelle en notre temps. On prie en ton nom, avec reconnaissance, amen.
Tous les extraits de la Bible sont tirés de la version Segond 21.
L’enseignement de cette série est tiré d’un atelier fait lors de la conférence True Woman 2022, par Leslie Bennett. Plus d’informations sur Leslie ici.
Réveille nos cœurs est le ministère francophone de Revive Our Hearts, avec Nancy DeMoss Wolgemuth.
Quelle que soit la période de votre vie, Réveille nos cœurs vous encourage à trouver la liberté, la plénitude, et à porter du fruit en Christ !