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Épisode 17 – Attendre

Dannah Gresh : Attendre est l’une des choses les plus difficiles qu’on nous demande de faire. Nous allons voir aujourd’hui comment et où nous pouvons en trouver la force et la patience.

Nancy DeMoss Wolgemuth : Nous attendons par la foi, en sachant que Dieu a de bien meilleures choses en réserve pour nous. Et qu’un jour il va nous donner des corps glorifiés. Nous aurons une éternité sans douleur, sans pleurs et sans mort. Et ça, nous l’attendons avec impatience !

Dannah : Vous écoutez Réveille Nos Cœurs.

La vie ressemble parfois à un embouteillage. On a de grands espoirs et plein d’idées, mais il y a toujours quelque chose pour bloquer la progression.

Il y a des jours où l’on a l’impression d’avancer comme une tortue dans nos projets, dans nos rêves. Le prophète Habakuk a connu cela. Nous allons découvrir ce qu’il a appris sur l’attente, dans ce nouvel épisode de notre série « Habakuk : de la peur à la foi ».

Nancy : Nous arrivons progressivement à la fin du livre d’Habakuk, nous sommes dans le dernier paragraphe du chapitre 3. Habakuk prie le Seigneur. Il répond aux choses qu’il a vues, dans la vision que Dieu lui a donnée – cette présentation du caractère de Dieu, de sa sainteté, de sa gloire, de son plan et de ses desseins.

Il voit qu’il y a un jugement à venir. Les Babyloniens seront l’instrument de Dieu pour châtier le peuple juif qui s’est égaré.

Mais Dieu va aussi juger les Babyloniens et ils récolteront ce qu’ils ont semé. Et tout à coup, c’est comme si toute la vision devenait trop dure à supporter pour Habakuk. À la lumière de ce qu’il a compris, il dit au verset 16 :

« J’ai entendu et je suis tout bouleversé. À cette voix, mes lèvres tremblent, la pourriture vient dans mes os et mes jambes tremblent ».

Nous avons vu dans le dernier épisode qu’Habakuk tremble suite à la révélation de la gloire de Dieu, à la révélation de la puissance de Dieu, à la colère de Dieu. Il tremble face au jugement imminent et à la persécution à venir. Il tremble devant le jugement que même les justes subiront parce qu’ils vivent dans une nation corrompue.

Je pense qu’Habakuk n’a pas été le seul à trembler face à cette pensée, mais que, tout au long de l’histoire du peuple de Dieu, beaucoup de croyants persécutés, même beaucoup de justes ont connu cela.

Ceux qui marchent par la foi ont été persécutés à cause de leur foi, ou ils ont dû souffrir aux côtés des injustes. Pensez à l’apôtre Paul. Lorsqu’il s’est converti, Dieu a dit : « Je lui montrerai tout ce qu’il doit souffrir pour moi » (Actes 9.16).

Il savait que son ministère pour Christ ne serait pas facile, et qu’il impliquerait des souffrances. Il a dit dans Actes chapitre 20 : « Je sais seulement que, de ville en ville, l’Esprit saint m’avertit que des liens et des souffrances m’attendent ». (v. 23).

Pouvez-vous imaginer avoir un ministère et la seule chose que vous sachiez avec certitude est que vous allez souffrir ? Il n’a pas dit : « Je sais que dans chaque ville des gens vont croire ou que des gens seront sauvés ou que de nouvelles églises seront créées ».

Paul a dû penser : « La seule chose que je sais avec certitude, parce que l’Esprit saint me l’a dit, c’est que dans chaque ville, des emprisonnements et des afflictions m’attendent » (paraphrase).

Les croyants du peuple de Dieu sont souvent amenés au bord de la mort et placés dans des situations où leur vie est en danger. En servant et obéissant au Seigneur, nous savons qu’il y aura de l’affliction. Il y aura des épreuves. Il y aura des luttes.

Dans ce livre, nous abordons la marche par la foi « Le juste vivra par sa foi » (Hab 2.4), cela comprend également l’affliction (Habakuk 2.4 ; Romains 1.17).

La détresse arrive, mais nous savons qu’au-delà de la détresse, le salut vient. Dieu est toujours prêt à donner le salut à son peuple. Nous sommes encore en exil. Nous ne sommes pas encore chez nous. Les promesses de Dieu ne sont pas encore toutes accomplies. Elles le seront ! Et la manière de survivre ici est d’exercer notre foi en ce que Dieu a promis. « Le juste vivra par sa foi », même quand il sait que des afflictions arrivent.

Par conséquent, pour exprimer sa foi, Habakuk fait deux choses (nous les voyons dans le dernier paragraphe de son livre). Nous allons parler de l’une d’elles maintenant. Nous parlerons de l’autre dans le prochain podcast.

Mais d’abord, pour exprimer sa foi, Habakuk dit, au verset 16 : « Je tremble. Je crains, d’une certaine manière, ce qui va se passer. Je sais qu’il va se passer des choses terribles, mais je vais attendre tranquillement » (paraphrase).

Certaines traductions disent : « J’attendrai patiemment ». J’attendrai tranquillement, comme une expression de la foi, même si je sais ce qui va se passer. Les Babyloniens arrivent, le peuple de Dieu va être châtié, Dieu va répandre sa colère sur cette terre.

« Pourtant, j’attendrai tranquillement. La pensée me fait trembler. » Ce n’est pas comme s’il enfouissait simplement la tête dans le sable et faisait semblant que cela n’allait pas se produire ou pensait d’une manière ou d’une autre qu’il allait échapper à tout cela.

« Je sais que cela va se produire. Je sais que cela va me toucher, mais j’attendrai tranquillement ». Que fait-il en attendant ? Il dit : « Sans bouger, j’attends le jour de la détresse, le jour où notre assaillant marchera contre le peuple » (v. 16).

« Nous allons être envahis, mais au-delà de cela, Dieu va rétablir la justice. Dieu va être glorifié, les Babyloniens seront écrasés. Dieu sera victorieux, et je vais attendre que tout cela se produise, et je vais attendre en silence. »

« Je vais attendre patiemment. Je ne vais pas lutter et être toute tendue ou toute contrariée ou affolée ou dire : ‘ Que va-t-il se passer ? ‘ ou ‘ Qu’allons-nous faire ? ‘ Je ne vais pas m’en faire pour cela. Oui, cela me fait trembler, mais j’attendrai. J’attendrai par la foi. »

Je veux simplement vous assurer, mesdames, que les Babyloniens ne viendront probablement pas dans notre pays, mais avant d’arriver au ciel, vous devrez traverser la souffrance et la douleur.

Cela peut être avec vos enfants. Cela peut être avec votre mariage. Certaines d’entre vous traversent cela en ce moment. La douleur peut même sembler insupportable par moments. Vous devrez la traverser sur votre lieu de travail, dans votre église, dans vos relations.

Cette douleur peut frapper notre pays. Alors que nous prions pour le réveil national, je pense que nous ne pouvons pas nous attendre à voir un réveil sans voir de la souffrance, sans voir de l’affliction et de la persécution.

Lorsque vous priez pour un réveil, sachez que vous priez peut-être pour que Dieu afflige son peuple, et cela nous fait trembler à l’idée de ce que cela peut impliquer. Quand vous priez Dieu en disant : « peu importe ce qu’il faut pour toucher le cœur de mon fils ou de mon petit-fils ou de ma fille ou de ma petite-fille », cela vous fait trembler à l’idée des conséquences que cela pourrait impliquer.

Quand vous priez en disant : « Seigneur, sanctifie-moi. Purge le mal et la méchanceté de mon propre cœur », cela vous fait trembler à l’idée de ce que cela pourrait impliquer. Cependant, par la foi, vous pouvez dire : « J’endurerai patiemment. J’attendrai tranquillement. J’attendrai le jour où Dieu déchaînera sa colère contre tous mes oppresseurs et Dieu sauvera, rachètera et délivrera son peuple. »

Ésaïe 64 nous dit que depuis les temps anciens, « jamais on n’a appris, ni entendu, jamais aucun œil n’a vu un autre dieu que toi agir de cette manière pour ceux qui comptent sur lui » (v. 3).

Attendre le Seigneur dans des temps de détresse et d’affliction est une expression de foi, et comment vit le juste ? « Le juste vivra par sa foi » (Habakuk 2 : 4).

Lorsque vous pouvez compter sur le Seigneur et ne pas vivre dans cet état d’esprit perturbé, vous développez la foi, sachant que Dieu corrigera toutes les injustices. Il accomplira ses promesses. Reposez-vous sur le Seigneur.

Le chapitre 8 de Romains nous dit que toute la création, même la création inanimée — la planète — se tord de douleur (voir v. 22). Elle gémit comme pour un accouchement. Qu’attend-elle ? Elle attend que Dieu rachète la terre.

Elle dit cela également de nous-mêmes, et pas seulement de la création, mais « nous-mêmes qui avons les prémices de l’Esprit en tant que croyants, nous gémissons intérieurement en attendant avec impatience l’adoption, la rédemption de nos corps » (v. 23, paraphrase).

Il y a un gémissement sur notre terre. Vous pouvez l’entendre dans les catastrophes naturelles, la terre qui gémit et se tord de douleur, attendant que Dieu crée un nouveau ciel et une nouvelle terre.

Et même nous qui avons l’Esprit en nous, nous gémissons, nous nous tordons, mais nous attendons avec impatience que Dieu mette le point final de l’histoire. Nous attendons que Dieu vienne et rétablisse la justice. Nous attendons que Dieu exerce son jugement et son salut sur la terre. Nous attendons que Dieu nous délivre de ces corps faibles et fragiles. Nous attendons cela avec impatience.

Nous attendons par la foi, en sachant que Dieu a de bien meilleures choses en réserve pour nous. Et qu’un jour il va nous donner des corps glorifiés. Nous aurons une éternité sans douleur, sans pleurs et sans mort. Et ça, nous l’attendons avec impatience !

Lorsque votre corps est tourmenté par la douleur de l’arthrite ou du cancer, ou que votre esprit commence à s’affaiblir avec la maladie d’Alzheimer, et que vous voyez la faiblesse et la fragilité de ces corps humains, n’attendez-vous pas avec impatience ?

Quand vous voyez que cela arrive à ceux que vous aimez, n’attendez-vous pas avec impatience le jour où tout cela sera derrière nous et où toutes choses seront nouvelles ? Nous attendons tous cela avec impatience.

Paul continue à dire dans Romains 8 : « En effet, c’est en espérance que vous avons été sauvés. Or l’espérance qu’on voit n’est plus de l’espérance » (v. 24). Si vous pouviez tout voir, si vous pouviez tout connaître maintenant, nous n’aurions pas besoin de foi.

« Ce que l’on voit, peut-on l’espérer encore ? Mais si nous espérons ce que nous ne voyons pas, nous l’attendons avec persévérance » (v. 24b-25). Paul dit que nous attendons impatiemment, et nous attendons avec persévérance. Comment faisons-nous cela ? Par la foi. Comment vivent les justes ? Par la foi.

Nous attendons avec persévérance. Nous attendons avec patience. Dieu est en train de tout renouveler. Alors que faites-vous ? Attendez le Seigneur.

Bon, je ne sais pas pour vous, mais je trouve parfois vraiment difficile d’attendre. Vous arrive-t-il de constater que votre foi devient faible et vacillante, et que vous tombez dans l’incrédulité, lorsque vous attendez que Dieu agisse ?

Parfois, vous vous surprenez même en train de dire : « Seigneur, c’est difficile d’attendre ! C’est difficile quand je ne peux pas voir. C’est difficile d’attendre patiemment. Je tremble toujours. Je vois ce qui va se passer, et j’ai du mal à attendre. Je veux voir quelque chose se produire maintenant ! »

Je pense que l’attente est difficile pour nous tous. Cela nécessite de la foi, et attendre n’est pas naturel. C’est pourquoi nous devons garder les yeux fixés sur le Seigneur et sur la ligne d’arrivée. Je suis impatiente de voir comment Dieu va résoudre les problèmes, et j’aimerais que Dieu se dépêche. J’aimerais qu’il mette fin aux choses plus rapidement. Je veux voir la fin de l’histoire plus rapidement.

Mais Dieu dit : « Non. Apprends à attendre. » Attends le Seigneur. 

J’ai découvert un poème il y a quelque temps qui a été écrit par un homme qui est maintenant auprès du Seigneur.

J’ai eu le privilège de recevoir son enseignement à San Antonio, il y a des années. Son nom était Russell Kelfer, et il a écrit un poème sur l’attente. Laissez-moi vous lire ce poème, car il décrit le processus que Dieu nous fait traverser lorsque nous apprenons à attendre silencieusement le Seigneur.

 

Le poème de l’attente, Russell Kelfer

 

Désespéré, impuissant, impatient,  j’ai pleuré ;

Calmement, patiemment, avec amour, Dieu a répondu.

J’ai supplié et j’ai pleuré pour connaître mon avenir…

Et le Maître, tout doucement, a dit : « Attends. »

 

« Attendre ? Tu dis d’attendre ? » fut ma réponse indignée.

« Seigneur, j’ai besoin de réponses, je dois savoir pourquoi !

Ton bras est-il raccourci ? Ou n’as-tu pas entendu ?

Par la foi, j’ai demandé, et je m’appuie sur ta Parole.

 

Mon avenir et tout ce qui m’importe

Sont en suspens, et tu me dis d’attendre ?

J’ai besoin d’un “oui,” d’un signe pour avancer.

Ou même d’un “non,” auquel je me résignerai.

 

Tu as promis, cher Seigneur, que si nous croyons,

Il nous suffit de demander, et nous recevrons.

Seigneur, j’ai demandé, et voici mes pleurs :

Je suis las de demander ! J’ai besoin d’une réponse. »

 

Puis doucement, en silence, j’en ai appris sur mon destin,

Car mon Maître a de nouveau répondu : « Attends. »

Alors je me suis affalé dans ma chaise, défait et tendu,

Et j’ai grommelé à Dieu : « Alors, j’attends… pour quoi ? »

 

Il sembla alors s’agenouiller, et ses yeux rencontrèrent les miens…

Et il dit tendrement : « Je pourrais te donner un signe.

Je pourrais secouer les cieux et obscurcir le soleil.

Je pourrais ressusciter les morts et faire fuir les montagnes.

 

« Je pourrais te donner tout ce que tu cherches et tu serais satisfait.

Tu aurais ce que tu veux, mais tu ne me connaîtrais pas.

Tu ne connaîtrais pas la profondeur de mon amour pour chacun de mes enfants.

Tu ne connaîtrais pas la puissance que je donne aux faibles.

 

« Tu n’apprendrais pas à voir à travers les nuages du désespoir ;

Tu n’apprendrais pas à faire confiance juste en sachant que je suis là.

Tu ne connaîtrais pas la joie de te reposer en moi,

Quand l’obscurité et le silence sont tout ce que tu vois.

 

« Tu ne connaîtrais jamais la plénitude de l’amour,

Quand la paix de mon esprit descend comme une colombe.

Tu saurais que je donne et que je sauve, pour commencer,

Mais tu ne connaîtrais pas la profondeur de l’amour de mon cœur.

 

« La lueur de mon réconfort tard dans la nuit,

La foi que je donne quand tu marches sans voir.

L’émerveillement profond qui dépasse le simple fait de recevoir ce que tu demandes,

D’un Dieu infini qui fait durer ce que tu possèdes.

 

« Tu ne saurais jamais, si ta douleur disparaissait rapidement,

Ce que signifie que ma grâce te suffit.

Oui, tes rêves les plus chers se réaliseraient du jour au lendemain,

Mais oh, quelle tristesse si je perdais ce que je fais en toi.

 

« Alors, sois silencieux, mon enfant, et avec le temps tu verras,

Que le plus grand des cadeaux est de me connaître vraiment.

Et bien que souvent mes réponses semblent terriblement tardives,

Ma réponse la plus précieuse de toutes est encore : ATTENDS. »

 

Nancy : Voilà ce poème de Russell Kelfer. Attendre le Seigneur. Attendre. Et ceux qui l’attendent ne seront jamais déçus.

Dannah : Ce poème nous fait réfléchir à deux fois avant de nous plaindre lorsqu’on doit attendre aujourd’hui, tout comme dans le message que nous venons d’entendre, qui fait partie de cette série intitulée « Habakkuk : de la peur à la foi ».

Si vous avez manqué l’un de ces épisodes, vous pouvez tous les retrouvez sur le site de Réveille Nos Cœurs, www.reveillenoscoeurs.com.

Quand le temps est venu pour un petit enfant d’arrêter d’utiliser la tétine, la sucette ou la lolette -selon le terme utilisé dans votre pays- , il se peut que la première nuit qu’il passe sans elle soit vraiment difficile. C’est une sorte de souffrance positive, qui apprend à l’enfant à se séparer de quelque chose dont il n’a plus vraiment besoin. On pourrait dire que la souffrance nous enlève à nous aussi des choses qui nous apaisent, des tétines figuratives si on veut dont on n’a plus besoin. On en découvrira davantage dans le prochain podcast de cette série avec Réveille Nos Cœurs.

Et pour conclure la discussion d’aujourd’hui sur l’attente, on aimerait prier avec vous maintenant.

Nancy : Êtes-vous impatient de voir Dieu agir, de le voir intervenir ? Avez-vous manifesté cette impatience en lui disant : « Seigneur, fais ça maintenant ! Corrige cette personne maintenant. Change-la maintenant ! »

Vous avez essayé de faire changer la situation, vous aviez des exigences vis à vis de Dieu. Peut-être vous accusez Dieu de ne pas se soucier de vous ? Est-ce qu’il est en train de vous dire : « J’ai un trésor à te donner. Je veux que tu me connaisses, mais tu vas devoir attendre. »

Alors si votre cœur a été impatient ou en colère envers Dieu parce que vous trouvez qu’il n’est pas assez réactif dans une situation donnée, ou qu’il n’a pas agi comme vous l’auriez pens´´ou souhaité, même à cet instant, alors prenez le temps de confesser cela au Seigneur.

C’est un acte de repentance. Levez les yeux vers lui, avec foi, en disant : « Seigneur, par ta grâce, je vais attendre silencieusement, tranquillement. Je vais attendre patiemment que tu fasses ce que tu as prévu de faire. Je vais attendre patiemment que tes plans soient accomplis. Je sais que ce n’est pas le dernier chapitre. Je sais que ce n’est pas la fin de l’histoire, et je sais que la fin de l’histoire vaut la peine d’attendre. »

Merci notre Père pour tes promesses incroyables ; pour la certitude que nous avons que viendra le jour où la terre sera remplie de la connaissance de ta gloire, comme les eaux recouvrent la mer.

Nous savons, comme nous l’avons appris dans ce livre, que les justes vivront par leur foi. Si on n’avait pas à attendre le résultat, on n’apprendrait pas avoir la foi, apprendre à la développer, et la foi, c’est ce qui te plaît.

Seigneur, apprends-nous à attendre — à nous attendre à toi, et à attendre en toute confiance, à attendre ardemment, avec une patience ardente, sachant que tu fais toutes choses bien, et que tu accomplis tous tes desseins, tous tes plans. Aide-nous à garder les yeux sur la fin de l’histoire, et jusque là, à attendre silencieusement. Je prie au nom de Jésus, amen.

Nancy DeMoss Wolgemuth et Réveille nos Cœurs vous apportent un message de liberté et de plénitude pour porter du fruit en Christ. 

Sauf mention contraire, les textes bibliques sont tirés de la version SG21.

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